Malgré l’intense charge de travail, l’ambiance était avant tout à l’entraide et la camaraderie et cela provoque une émulation saine.
Parcours professionnel :
Ingénieur de recherche au CEA LETI à Grenoble.
Ingénieur logiciel C++, consultant pour Schneider Electric, optimisation de répartition énergétique pour bornes de recharges de véhicules électriques.
Pourquoi une CPGE, et une CPGE ici avec nous ?
Le choix du lycée Follereau avait surtout été motivé par sa proximité avec mon domicile et la possibilité d’accès à l’internat pendant les deux années.
Comment avez-vous vécu vos années de CPGE ? Quels points forts ?
Je les ai très bien vécues ! Malgré l’intense charge de travail, l’ambiance était avant tout à l’entraide et la camaraderie. Les profs répondaient aux questions et faisaient de leur mieux pour nous aider à comprendre.
Un grand point fort pour moi est l’accès à une formation d’excellence, ouverte à tous avec un internat permettant de gommer en partie les disparités de milieu social entre les élèves.
L’accès régulier au gymnase nous permettait de souffler et de nous défouler.
Des conseils à donner aux lycéennes et lycéens qui nous lisent ?
La prépa peut être impressionnante par la grande charge de travail à fournir, mais tout est fait pour que les élèves y arrivent.
Concentrez-vous sur la compréhension des raisonnements plus que sur de l’apprentissage par cœur. N’hésitez pas à demander de l’aide aux profs, mais aussi aux autres élèves, expliquer des concepts les fera également progresser !
La prépa dure 2 (ou 3 ans), ça paraît beaucoup au début mais ça passe assez vite, rappelez vous que ça finit et que le reste de votre vie en sera bien différent.
Ne sous-estimez surtout pas le sport, c’est excellent pour la santé mentale. Pensez bien à vous accorder des temps calmes de repos plutôt que de bûcher sur 30 exos bêtes et méchants d’affilée.
Dites en plus sur vos années d'école ?
J’ai choisi cette école (PHELMA) et filière par intérêt pour ces matières et pour son emplacement géographique idéal pour un passionné de montagne. Elle m’a permis d’approfondir des bases techniques vues en prépa et d'aiguiser mon intérêt pour le développement logiciel et les systèmes embarqués.
J'ai effectué un stage de trois mois à Felix & Paul studios à Montréal, un studio de films en réalité virtuelle.
Ma 3ème année s'est faite à Heriot Watt University à Edimbourg pour suivre un Master en intelligence artificielle.
Et aujourd'hui, quelques mots sur votre travail ?
Mes tâches quotidiennes consistent principalement à programmer, pour implémenter de nouvelles fonctionnalités, réparer des bugs ou mettre en place des tests pour nous assurer de la fiabilité et de la justesse des développements.
Le gros point fort est l’ambiance durant ces deux années. On était tous là les uns pour les autres et c’est hyper important durant ces deux ans intensifs.
Parcours professionnel :
Ingénieur R&D au pôle isolation thermique par l’extérieur chez ParexGroup : formulation et caractérisation de mortiers dédiés à l'isolation.
Ingénieur R&D au pôle Mortiers spéciaux chez ParexGroup puis Sika : développement de produits destinés à la protection / réparation / entretien pour le gros œuvre, maçonnerie, le génie civil, la voirie.
Responsable R&D pôle Mortiers Spéciaux chez Sika
Management de l’équipe mortiers spéciaux et pilotage de projets R&D
Pourquoi une CPGE, et une CPGE ici avec nous ?
J’avais de bonnes notes au lycée, mais je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire par la suite. Mes différents professeurs m’ont conseillé d’intégrer une CPGE scientifique pour me permettre de découvrir les différents domaines scientifiques et me laisser un vaste choix d’écoles et de spécialisations par la suite. J’ai choisi Belfort pour des questions de proximité.
Comment avez-vous vécu vos années de CPGE ? Quels points forts ?
J’ai très bien vécu mes deux années de CPGE. Nous sommes vraiment très bien encadrés et suivi individuellement par nos différents professeurs. Le travail intensif permet également d’apprendre à s’organiser et à travailler autrement, ce qui est bien utile pour la vie future.
Le gros point fort est l’ambiance durant ces deux années. J’étais à l’internat et il y a une grosse entraide entre les gens pour les leçons, les devoirs, les colles, le sport... Il y a toujours quelqu’un pour les moments creux ou pour relâcher la pression. On était tous là les uns pour les autres et c’est hyper important durant ces deux ans intensifs. C’est également en CPGE que j’ai rencontré celui qui deviendra mon mari.
Des conseils à donner aux lycéennes et lycéens qui nous lisent ?
Une classe préparatoire est un très bon choix pour se laisser plusieurs possibilités d’orientation et pour bénéficier d’un bon suivi et de bonnes méthodes de travail.
Dites en plus sur vos années d'école ?
J’ai choisi une école de chimie assez généraliste car je ne savais pas dans quel domaine me spécialiser. J’ai donc eu des cours de chimie organique, chimie des matériaux et génie des procédés pendant deux ans. Je me suis spécialisée par la suite dans les matériaux.
L’école m’a permis d’en apprendre un peu plus sur les différents matériaux (polymères, nanomatériaux, composites, bétons, aciers…), choses que l’on voit très peu avant l’école, puis de pouvoir en faire mon métier.
L’école permet également d’avoir un bon réseau pour la recherche de stage et d’emploi par la suite.
J’ai effectué un stage de deux mois à Elkem Silicones (conditionnement en petits volumes de produits silicones), de trois mois à l’université de Glasgow (recherche de nouveaux procédés de synthèse d’un composé pour le stockage d’hydrogène), et de six mois chez ParexGroup (identification des leviers de formulation pour limiter le risque de fissuration d'une finition d’isolation thermique par l’extérieur).
Et aujourd'hui, quelques mots sur votre travail ?
Je manage actuellement une équipe de deux ingénieurs et quatre techniciens. J’assure le bon fonctionnement de l’équipe et le bon déroulé des projets. Pour la partie technique, nous formulons de nouveaux produits spécifiques pour le domaine des mortiers spéciaux (montée rapide en performances, fluide, résistant au froid, à l’eau de mer…). Nous reformulons notre gamme pour la rendre plus écologique avec de nouveaux liants (autre que le ciment). Nous assurons le maintien de la gamme suite à l’évolution ou à l’arrêt de certaines matières premières. Pour tous ces différents projets, nous mettons en œuvre nos formules au labo et nous réalisons différents tests pour contrôler et vérifier nos produits selon les normes.
Hormis les avantages communs à toutes les prépa, la particularité du Follereau est d’arriver à faire intégrer des grandes écoles à des élèves qui n’étaient pas forcément dans le top de leur classe au lycée
Parcours professionnel :
Centre d’Études Spatiales de la Biosphère : observation de la végétation à l’échelle du globe par images satellite en interférométrie radar.
Mission chez Airbus DS Géo en observation de parcelles agricoles françaises par images satellite optique.
Actuellement ingénieur chez Dotic : étude des données de déploiement du réseau de fibre optique français.
Pourquoi une CPGE, et une CPGE ici avec nous ?
Un forum des métiers auquel j’étais allé au lycée, où j’ai rencontré des étudiants de l'école des Arts et Métiers, qui m’ont très bien vendu la prépa au Follereau et leur école d’ingénieur. À la base j’étais plutôt parti pour faire MP à Kléber, mais c’est les statistiques d’entrées aux grandes écoles qui m’ont fait me décider pour ici.
Comment avez-vous vécu vos années de CPGE ? Quels points forts ?
Hormis les avantages communs à toutes les prépa, la particularité du Follereau est d’arriver à faire intégrer des grandes écoles à des élèves qui n’étaient pas forcément dans le top de leur classe au lycée. En discutant plus tard avec de nombreux autres anciens élèves de prépa, pas un seul n’avait vécu une expérience similaire à ce qu’on avait vécu ici.
Il y a, du moins quand j’y étais, beaucoup plus de professeurs bienveillants qu’ailleurs. Avec le recul clairement je pense avoir fait le bon choix en étant passé par cette prépa.
Des conseils à donner aux lycéennes et lycéens qui nous lisent ?
La prépa n’est pas le seul moyen d’intégrer une école d’ingénieur. Certains seront adaptés à ce système et d’autres pas, alors qu’ils sont d’excellents élèves. Si vous pensez en être capable, alors c’est ici qu’on vous donnera les meilleures armes pour intégrer rapidement une école d’ingénieur, et que vous augmenterez grandement vos chances d’en intégrer une "bien cotée".
Dites en plus sur vos années d'école ?
Premier aperçu pratique de l’application des théories qu’on nous apprend en prépa, même si la théorie est toujours présente en école d’ingénieur. Les TP portent beaucoup plus souvent sur des problématiques et technologies récentes.
L’ENSG est une école qui est spécialisée dans la géomatique (utilisation de l’informatique pour analyser de la donnée contenant de l’information géographique).
En 3ème année, je suis parti en double diplôme à l’ENTPE en cursus Environnement, spécialisation en risques naturels et technologiques.
Un stage chaque année, dont un à l’université d’Hawaii sur l’étude de données volcaniques et un à l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) sur le risque d’inondation par pluies extrêmes sur les centrales nucléaires françaises.
Et aujourd'hui, quelques mots sur votre travail ?
Actuellement chez Dotic, je travaille sur quatre projets différents :
Deux où j’occupe le rôle de référent technique en analyse de données géomatiques, où je fais de la conception de logiciels de contrôle et d’export de données de fibre optique.
Un où j'organise les négociations entre les opérateurs télécoms, les collectivités territoriales et l’État à propos de l’installation du réseau de fibre optique sur leur territoire.
Un où j’occupe le rôle de chef de projet. Cela consiste à coordonner une équipe de développeurs sur un projet, faire des estimatifs calendaires et budgétaires, et rendre des comptes à un client.
Lycée Follereau : bac S-SVT (équivalent aux spécialités mathématiques et SVT).
CPGE au lycée Follereau
École intégrée : ISAE-ENSMA
École Nationale Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique (lien)
En thèse avec partenariat en entreprise
La CPGE est une très belle expérience qui, outre les aspects scolaires, permettent de développer de nombreuses compétences.
Parcours professionnel :
J’ai intégré la prépa du lycée Follereau qui m’a amené à intégrer l’école d’ingénieur ISAE-ENSMA à Poitiers. Je suis à présent en fin de deuxième année de thèse au sein de l’ISAE-ENSMA avec l’entreprise Efectis en tant que partenaire industriel et employeur.
Pourquoi une CPGE, et une CPGE ici avec nous ?
Ce qui m’a décidé à faire une CPGE est la volonté d’intégrer une école d’aéronautique. J’ai voulu faire une CPGE au lycée Follereau car, outre sa proximité géographique, les classes restent à effectifs réduits par rapport à d’autres écoles et on ne se sent pas noyé dans une masse. L’accompagnement y est plus personnalisé.
Comment avez-vous vécu vos années de CPGE ? Quels points forts ?
Plutôt très bien ! Ces deux années m’ont permis d’apprendre des méthodes de travail, d’avoir un spectre de connaissances assez large dans de nombreuses disciplines pour faire un choix éclairé dans ce que je voulais faire plus tard.
Outre les effectifs réduits, un autre point fort de la CPGE à Belfort est l’accès à l’internat. C’est un lieu qui m’a permis de pouvoir travailler et de s’entraider avec mes camarades pour pouvoir avancer ensemble.
Des conseils à donner aux lycéennes et lycéens qui nous lisent ?
Je dirais tout simplement qu’il ne faut pas avoir peur d’oser et de se lancer. La CPGE est une très belle expérience qui, outre les aspects scolaires, permettent de développer de nombreuses compétences.
Dites en plus sur vos années d'école ?
Lors de ma 3ème année à l’ISAE-ENSMA, j’ai choisi l’option énergétique et j’ai réalisé en parallèle le master Aéronautique et Espace mention Transports Aéronautiques et Terrestres. J’ai réalisé mon stage de 2ème et 3ème année au sein du laboratoire Pprime sur la thématique de la sécurité incendie (feux des conduits de cheminée et feux de façade).
Et aujourd'hui, quelques mots sur votre travail ?
Aujourd’hui, je suis en thèse et je travaille sur le comportement au feu des bâtiments isolés par l’extérieur à l’aide d’un bardage ventilé. Pour cela j’utilise à la fois une approche expérimentale (allant jusqu’à l’échelle réelle) et une approche numérique. En parallèle, le statut de doctorante me permet de donner des cours à l’Université de Poitiers et à l’ISAE-ENSMA au niveau L3, M1 et M2.
Choisir la CPGE du Follereau, c’est choisir une prépa à taille humaine et l’environnement qui va avec.
Parcours professionnel :
Actuellement chez General Electric (steam power / Arabelle solution) : suivi qualité d’équipements divers (pompe, surpresseur, réchauffeur, vanne) en vue de leur installation en centrale nucléaire. Réalisation d’inspection selon un cadre normatif et réglementaire.
Pourquoi une CPGE, et une CPGE ici avec nous ?
Un professeur de physique au lycée nous a présenté les cursus scientifiques après le BAC. J’avais la volonté de rester dans une petite structure et si possible pas très loin de chez moi. Je n’étais pas encore prête à quitter tout mon environnement confortable.
Comment avez-vous vécu vos années de CPGE ? Quels points forts ?
C’était un challenge personnel pour moi, de me centrer deux ans sur un seul objectif alors que j’ai tendance à mener plusieurs choses en parallèle. C’est une expérience qui chamboule beaucoup mais qui est formatrice : package théorique, rigueur et organisation obligatoire.
Personnellement, j’ai un sentiment ambivalent sur ces 2 ans. Très bien car la taille humaine permet une bonne cohésion, un bon suivi par les professeurs, la possibilité de voir ses proches la semaine si besoin même en étant interne.
La souplesse de l’internat permettait de relâcher la pression, de travailler et d’avoir une super cohésion Sup/Spé. C’était assez unique comme fonctionnement.
Je ne regrette pas ce choix, ni ces années.
Des conseils à donner aux lycéennes et lycéens qui nous lisent ?
La charge de travail est tout aussi importante que dans une autre prépa. La CPGE n’est pas le seul moyen d’intégrer une école d’ingénieur, mais c’est certainement le plus efficace en termes de places allouées aux élèves de CPGE en école.
Vous en sortirez avec de solides bases techniques et une capacité à travailler beaucoup, à vous remettre en question, ainsi qu’avec de belles amitiés (ou plus).
Dites en plus sur vos années d'école ?
L’arrivée en école permet d’avoir les premières applications pratiques du package théorique appris en prépa.
Le groupe INSA favorise l’engagement associatif à travers une grande variété d’associations (culturelle, sportive, junior entreprise) et de temps disponible pour s’y impliquer.
L’INSA Centre Val de Loire est une école du groupe INSA. Le campus de Bourge est spécialisé dans la gestion des risques. J’ai suivi la spécialité Energie Risque et environnement en alternance dans une unité production. Ainsi, j’ai pu suivre sur trois ans des projets en fonction des changements dans l’entreprise.
Ces années d’école comprennent un stage (pour moi chez Liehberr) et un projet de fin d’études.
Lycée Follereau : bac S spécialité Sciences de l’Ingénieur.
CPGE au lycée Follereau
École intégrée : Arts et Métiers
Ingénieur soudeur
Lors du forum, on m’avait présenté la prépa du Follereau comme une classe familiale avec des professeurs dévoués, où tout était fait pour que l’on puisse réussir, et on ne m’avait pas menti !
Parcours professionnel :
Ingénieur soudeur R&D spécialisé dans le soudage pour le domaine de l’énergie.
Pourquoi une CPGE, et une CPGE ici avec nous ?
Je pense que j’ai toujours été attiré par la technique. Au collège, j’attendais les cours de technologie avec impatience. C’est suite à cela que j’ai été au lycée Follereau spécifiquement dans l’optique de suivre les cours de Sciences de l’Ingénieur. C’est vraiment cette première expérience qui m’a conforté dans le choix de poursuivre et de prendre la voie royale pour devenir ingénieur.
Le fait de rester dans mon lycée d’origine était aussi un avantage confortable, et habiter à 15 min en voiture de la prépa m’offrait une solution de repli en cas de besoin.
Comment avez-vous vécu vos années de CPGE ? Quels points forts ?
Lorsque l’on me pose ce genre de question, je réponds souvent que je suis fier de l’avoir réalisé. Ces deux années difficiles m’ont permises de découvrir ce que j’étais capable de faire, d’attendre le maximum de moi-même en repoussant mes limites.
Cette prépa est à taille humaine, et on a la chance de pouvoir faire confiance à nos professeurs qui nous sont dédiés et qui veulent nous amener le plus loin possible. Envoyer un mail à un professeur tard une veille d’évaluation et avoir une réponse dans les 5 minutes en est la preuve.
L’internat est aussi un élément clé pour réussir. Si un 1ère année bloquait sur une question, il allait toquer à la porte d’un 2ème année, qui se faisait un plaisir d’y répondre.
Pour absorber cette quantité de travail, il faut aussi savoir décompresser en faisant du sport par exemple, ou bien quelques âneries bon enfant avec les copains permettant de faire baisser la pression rapidement.
Des conseils à donner aux lycéennes et lycéens qui nous lisent ?
Cernez vos forces et vos faiblesses. Appuyez-vous sur ce que vous maitrisez, et travaillez là où vous avez des difficultés. Comptez sur vos camarades et entraidez-vous. Faites des petites pauses pour récupérer et garder votre motivation à 100% tout au long de la course !
Finalement, sachez bien que réaliser une classe prépa et une école d’ingénieur est très formateur, mais cela ne vous enferme en rien dans une voie et que plusieurs passerelles existent. Libre à vous de tracer votre chemin !
Dites en plus sur vos années d'école ?
Diplôme d’ingénieur de l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, et double diplôme à l’école supérieure du soudage et de ses applications (ESSA).
Si j’avais le super pouvoir de revivre une période de ma vie, je choisirais mes deux années à l’école des arts et métiers !
Après m’être dépassé en classe prépa, le stress retombe en intégrant une école d’ingénieur et l’aventure fantastique peut commencer !
Les cours proposés aux Arts sont de qualité et vous aurez l’occasion d’y rencontrer des enseignants passionnés.
Et aujourd'hui, quelques mots sur votre travail ?
Actuellement, je suis chef de produit consommables chez Welding Alloys en Alsace, où nous fabriquons des métaux d’apport de soudage, principalement destinés au rechargement dur de pièces soumises à différents types d’usure que l’on peut rencontrer dans beaucoup de secteurs, comme dans les mines et carrières, la sidérurgie, l’agriculture, les énergies, etc.
Mon rôle est de faire le lien entre les demandes de nos différents clients, l’atelier de production, la R&D et le marketing. Je développe également le procédé de soudage laser fil au sein de l’entreprise.